top of page

Musée de la Mine et du
Développement Durable

rue Saint-Patrice 2b, La Louvière

 

Bois-du-Luc recouvre l’ensemble des réalisations techniques et sociales de l’une des plus anciennes houillères de Wallonie : la  Société des Charbonnages du Bois-du-Luc. Une Société qui se démarque du paysage industriel.

IsaBelle+Paradise Now - A Luni Son.jpg

Isa*Belle + Paradise Now - A luni son

Cette installation imaginée par Isa*Belle (artiste/performeuse son-corps) et Paradise Now (créateur sonore et intermédiatique) met en scène la puissance évocatrice et relationnelle du son quand il est associé étroitement à un des moments les plus intenses de notre existence, celui de la rencontre amoureuse entre deux êtres. 

A l’uni son se présente sous la forme d’une installation plastique et sonore, avec d’élégantes robes de mariées d’époque différentes (des années 40 à 2000) suspendues au plafond. Chacune émet une pièce sonore différente, le tout étant conçu comme une forme de polyphonie devenant aléatoire selon le déplacement du visiteur. Les contenus audio principaux sont constitués à partir d’une série d’entretiens réalisés, pour l’occasion, avec des femmes (d’origine, âge, horizons et cultures différentes) ayant connu le « grand amour » et qui évoquent ici le contexte de cette rencontre et son lien avec tel ou tel son. 

Dans notre époque marquée par une morosité, la solitude et de multiples mutations particulièrement difficiles aussi sur le plan émotionnel, A l’uni son entend proposer un espace visuel, sonore, mnémonique, poétique et sensoriel, un rappel de ces instants magiques où se déclarent ces engagements de corps, d’esprit et de cœur qui unissent et illuminent les êtres.

Avec la participation vocale de Bérénice B,  Véronique B, Ariane C, Yvette F, Maja J, Gabriele W.

 

Production : Transcultures avec le soutien de la Ville de La Louvière

Commissaire : Eric Claus

Natalia de Mello + Daniel Vander Gucht

Machin.e

L’artiste plasticienne et multimédiatique Natalia de Mello et le sociologue et écrivain Daniel Vander Gucht (accueillis, à la faveur d’ARTour, cet été 2021, en résidence chez Transcultures sur le site de Bois-du-Luc jusqu’à mi-septembre 2021) documentent en images et en mots sous forme de vidéos évolutives leur dialogue in progress pour la conception et l’implantation d’une pièce in situ baptisée « Le Machin ».  

La forme et la présentation de cette création hybride et contextuelle ne seront fixées et dévoilées au public qu’au terme de ce processus créatif. Tous les échanges et les moments de réflexion et de doute, les étapes de travail et d’expérimentation, les possibilités envisagées ou abandonnées, les croquis et les maquettes provisoires seront ainsi archivées et activées dans une écriture visuelle et sonore par des montages vidéo dynamiques qui rendront compte de ce processus créatif tandis que « Le Machin » matérialisera sous forme d’une pièce ce processus dialogique. 

Commissaire : Philippe Franck

Production : Transcultures, Central/ARTour, en partenariat avec les Pépinières européennes de Création.

NdeMelloDVanderGuchtLeMachin1.jpg

Philippe Franck  

avec la participation de Charles Pennequin 

Spectacle 

Ce triptyque audio-vidéo-poétique est né d’une commande littéraire (par Transcultures dans le cadre du festival international des arts sonores City Sonic), à l’auteur/performeur français Charles Pennequin autour de la notion de spectacle sous différents angles (celui du monde du spectacle, du créateur, du public), Philippe Franck a ensuite mis en scène Charles Pennequin lisant ces trois textes percutants (Monde spectacle, Créateur, Être bien souvent le public de tout) pour le filmer, le même jour, sur la scène (lieu du créateur), dans la salle (lieu du public) et devant la façade (lieu du spectacle) du Théâtre Royal de Mons, ville qui était, en cette année 2015, capitale européenne de la culture. 

L’installation joue de la polyphonie/polyrythmique poétique mais aussi de la présence énergétique de l’auteur et de sa posture critique dans le contexte de l’hyperspectacle contemporain.

 

Réalisation/concept : Philippe Franck | texte : Charles Pennequin | caméra, montage : Zoé Tabourdiot | production : Transcultures | photo : Transcultures

Philippe Franck avec Charles Pennequin. Spectacle. Photo Transcultures.jpg
Gauthier Keyaerts -- Revision 1.jpeg

Gauthier Keyaerts

Révision#1  (Bois-du-Luc)

Le viseur à fleur de matière, « l'œil sampler », Gauthier Keyaerts (créateur sonore, visuel et interdisciplinaire) explore les espaces visuels et sonores du site de Bois-du-Luc, afin d'en restituer l'âme. Pour ce faire, il mêle en une installation multimédia des photos et vidéos matiéristes baignant dans des ambiances sonores tout aussi texturales. 

Cet ensemble se voit complété par des textes poétiques rédigés et lus par l'artiste, qui interprète au gré de fragments, des histoires petites et grandes. Le tout constitue un dispositif onirique, immersif, à la pensée et aux associations libres. 

Les visiteurs remixent selon leur vécu et état émotionnel, en temps réel, l'œuvre présentée.

 

Commissaire : Philippe Franck

Production : Transcultures, ARTour/Central

Alain Wergifosse

Geno-TypO

installation vidéo multicanal/vivier sur table

Cette création numérique, visuelle et sonore est une étude spéculative sur l'évolution génétique d'une erreur de frappe typographique.

Après l'Histoire, laissée à l'abandon dans la nature le temps suffisant, la parole écrite arriverait-elle à prendre vie par elle-même pour évoluer vers de nouvelles espèces organiques de métalangages auto générés où la signification des symboles ne viendrait plus définie par les traces d'une culture humaine oubliée mais plutôt par le caprice de multiples mutations consécutives des formes pour finir par s'intégrer complètement dans la biomasse ?

Afin d'accélérer ce processus de bio morphisation du langage dans un environnement artificiel, Alain Wergifosse (artiste sonore, visuel et multimédiatique) a choisi d'utiliser une simple erreur de frappe comme sujet d'étude expérimentale plutôt qu'une phrase ou un mot trop signifiant, l'idée étant qu'après nous, les mots n'auront plus besoin de signifier quoi que ce soit dans un monde où, comme au tout début, rien n'aura de nom...

 

Commissaire  : Philippe Franck

Production : Transcultures, ARTour | Central

Alain Wergifosse Geno-TypO.jpg

Musée de la Mine et du Développement Durable

rue Saint-Patrice 2b - Houdeng-Aimeries (La Louvière)

+32 64 28 20 00

info@boisdulucmmdd.be

www.boisdulucmmdd.be

 

mar > ven | 10:00 > 17:00 

sam > dim | 10:00 > 18:00

5€ | 3€ | gratuit < 6 ans 

musee de la mine et du développement durable.jpeg
bottom of page